Le post partum est le temps qui commence juste après l’accouchement.
Le corps va revenir à la norme, mais c’est bien plus que cela, tout est différent de manière indélébile.
Bébé est arrivé, monopolisant tous les regards et toutes les attentions.
De femme enceinte, que l’entourage chouchoute, protège , attentif à la moindre de ses envies et de ses besoins; elle devient mère avant et contre tout.
La nouvelle maman veut dormir, mais elle doit nourrir son enfant qui réclame. Elle veut se reposer de ce tsunami qu’est l’accouchement, mais son bébé pleure sans raison. Il lui faut le prendre dans ses bras pour qu’il se calme.
L’enfant devient la priorité de tous.
Sans compter les critiques de son entourage, mère, belle-mère, amies sur la façon de s’occuper de l’enfant; cododo….allaitement….biberon….
La jeune maman peut se sentir stupide devant les soins à donner à un nourrisson, lorsque c’est le premier bébé si petit qu’elle voit.
Pratiquer la sophrologie va permettre de se recentrer
Se reconnecter à soi, respirer librement, s’ancrer sur ses valeurs, sera profondément salutaire.
Pratiquer la sophrologie va permettre de se libérer de ses émotions négatives.
Durant sa grossesse, la femme imaginait son bébé comme un petit être merveilleux, qui allait bien sur compliquer quelque peu ses nuits, mais rien de bien grave... La réalité est toute autre: elle devient une véritable esclave des besoins de son enfant, il passe avant tout.
Elle doit se lever même si les cicatrices de la césarienne, ou de l'épisiotomie la font souffrir, il faut supporter les douleurs; et pire que tout, elle ne ressent peut être pas pour cet enfant qu’elle a porté pendant neuf mois l’amour inconditionnel d’une sacro sainte maternité.
Sans cheveux, tête plate, le bébé ne répond pas aux critères de beauté véhiculés dans les magazines, la nouvelle maman ne ressent aucune attirance pour cet enfant qui est le sien. Elle va se sentir coupable et s’installer dans une profonde souffrance dont elle ne pourra parler tant cela est tabou.
Pouvoir dire, oser parler de ses difficultés sans être jugée comme un monstre sera profondément libérateur de cette culpabilité.
Je reçois des jeunes mamans éplorées dans mon cabinet du 14 eme parisien, ou à distance , Je les écoute sans jugement parler de leur chagrin d’être “une mauvaise mère, de leurs difficultés à s’occuper de leur bébé. Ce ne sont que des ressentis, des difficultés passagères.
La tristesse, la culpabilité sont des émotions négatives, semblables à de gros nuages noirs.
Bébé va grandir, il va bientôt sourire, tendre les bras à sa maman ,dire ses premiers mots, et toutes les difficultés des premiers mois seront oubliées sous les caresses données à ce petit être d’amour.
La sophrologie va permettre de s’installer en confiance dans sa capacité à être une bonne maman
Ayant eu quatre enfants, je comprends les problématiques rencontrées, et accompagne vers une prise de recul salutaire...
N'hésitez pas à poser vos questions, j’y répondrai avec plaisir.
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